En ce moment et à venir à la galerie
Delphine Lahens et Jean-Marie Salanié,
Peintures et dessins
Du 10 octobre au 8 novembre 2025.
Vernissage vendredi 10 octobre, 17h30.
La galerie du Fonds Labégorre accueille pour la deuxième fois deux artistes établis à Saubion depuis de nombreuses années. Delphine Lahens exposera des dessins récents ; un travail qui semble gracile, presque fragile, mais plein de vie et d’espièglerie. Quant à Jean-Marie Salanié, il poursuit son chemin, près des pas de ses « maitres » ; Bacon, Velasquez, Rembrandt.
Photos par Claude Goga pour le fonds Labegorre
100% Labégorre
Peintures et dessins
Du 9 novembre au 9 décembre 2025.
« Dans un monde de mystères » par Serge Labegorre et Frédérico Alagna
Peintures
Du 11 décembre au 15 janvier 2025.
Vernissage le jeudi 11 décembre à 17h30
Frédérico Alagna, artiste multiple, homme insatiable, à la fois peintre, sculpteur mais aussi musicien de grand talent, comme toute la fratrie Alagna, revient à Seignosse après une première expérience en compagnie de Delphine Lahens et Jean-Marie Salanié, pour un tête à tête solitaire avec Serge. Nous pourrons admirer son travail sur les visages, sculptés en différents matériaux, emplis de gravité, hésitant entre la douleur et la prière. La descente en soi ou la supplication.
100% Labegorre
Peintures
« Fils adoptif de Van Gogh, frère cadet de Georges Rouault, Chaïm Soutine a au moins trois enfants : Gen Paul, le gosse des pavés de Montmartre et grand invalide de guerre ; Francis Bacon, l’homosexuel tragique tenté par la cruauté ; et, à coup sûr, le dernier véritable expressionniste français, Serge Labégorre, dont l’œuvre portée au noir et au rouge cardinal, est pétrie d’âme et de chair. ».
Jacques Lambert, journaliste et historien d’art. Extrait de « Soutine intime », Editions Fauvres, 2023.
« Elans », Jacques Lasserre
Peintures et Sculptures
Un plaisir d’accueillir pour la première fois Jacques Lasserre, sculpteur landais natif, enraciné, souvent montré et célébré en ses terres, et reconnu bien au-delà pour la qualité et le rythme quasi musical de ses formes. Retour sur son œuvre, du Légionnaire romain de la Fontaine de Dax, aux nus endiablés, en passant par de sages totems, animaux sobres et puissants.
100% Labegorre
Peintures et Sculptures
« Le peintre de l’âme humaine »
« Son sujet, depuis le premier jour, c’est l’homme, et nul n’est besoin de se laisser distraire par son époque pour en traiter. La sensibilité à la matière humaine lui importe. Il a besoin d’en garder des traces. « Quand vous allumez un regard, c’est toute l’humanité qui vous regarde ». »
Christian Seguin. Grand reporter, Sud Ouest Dimanche – 2014
« Deux frères »
hommage à Bernard Ponty, peintre et écrivain cousin de Serge
Concert classique avec la violoniste Pascale Meley, de l’Orchestre national de Paris, et la pianiste Jeanne-Marie Ponty Fourel, Professeur au Conservatoire de Montreuil, suivi du vernissage de l’exposition, le 16 mai – informations à suivre.
Bernard Ponty est le cousin germain de Serge. Ecrivain, peintre, philosophe, il nous a quittés en 2020. La complicité de Serge et Bernard fut si claire, évidente, éternelle, dès leur jeunesse, qu’il est heureux d’ouvrir enfin les cimaises de la grande salle du Fonds à ce frère. Compagnon de tous les défis, de tous les projets, de tous les voyages, notamment ceux des vacances estivales qui menaient toute la famille à Capbreton, Hossegor ou Seignosse, dans les années 60 et 70.
En ouverture du vernissage aura lieu un concert classique en l’église Saint André (modalités à définir), avec les nièces de Bernard, les petites cousines des enfants de Serge, dont Pascale Meley, violonniste à l’Orchestre National de Paris et fondatrice du Quatuor Verlaine.
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Peintures
« Je ne suis pas un peintre aimable » admet Serge Labégorre, qui depuis quarante ans fait le portrait d’individus gravement ordinaires. « La banalité a sa grandeur », aussi est-ce au cœur de nos drames quotidiens ou historiques, répétés à chaque nouvelle génération, que le peintre puise la permanence des regards et le délitement des corps qu’il met en forme. »
Gérard Gamand, extrait de « Serge Labégorre, des regards lourds », Hors Série Azart n°3, 2005.
« La grandeur du modeste » Serge Labégorre passe l’été avec Jean-Pierre Ruel
Peintures
Jean-Pierre Ruel peint les modestes habitats de campagne, de montagne et les êtres qui y séjournent ou les frôlent, avec un amour infini, une qualité extrême en même temps que tremblante, vivante. Un grand peintre, au travail solide, chaud, rassurant, comme un bon vêtement en velours côtelé, un beau vin… Un travail solide et somptueux, grand, au service de tout ce qui est modeste. Et qui a sa grandeur.
100% Labegorre
Peintures
« Serge Labégorre porte un regard lucide sur ses contemporains dont la peinture se fait le miroir intransigeant d’une vision paroxystique. Cette approche singulière porte une dimension épique. »
Lydia Harambourg. Critique d’art. La Gazette Drouot, septembre 2015.
« Témoins et sentinelles »,David Daoud et Valérie Fanchini
Peintures et Sculptures
Peintre franco-libanais, David Daoud poursuit le travail d’interrogation de nos vies, du monde qu’il habite. Dans la dernière monographie qui lui est consacré, Ibrahim Maalouf écrit : « Il ne se contente pas de peindre des visages, des corps et des paysages ; il sculpte des émotions, des identités, des histoires collectives qui résonnent avec notre propre humanité… ».
Quant à Valérie Fanchini, sculpteur, elle déclare « Travaillant divers matériaux comme la terre, le plâtre, le bronze ou l’acier en premier lieu, le verre m’a attrapée depuis 2004 et je ne l’ai plus lâché. » …/… « Le verre est captivant pour un sculpteur car il permet de travailler l’intérieur du volume en faisant jouer à la lumière un rôle encore plus fondamental. C’est un médium ambivalent, un liquide/ solide, un présent/absent, un fragile/solide, un intérieur/extérieur. » Une première à Seignosse pour ces deux jeunes et beaux artistes, très attendue.
100% Labegorre
Peintures
« L’œuvre de Serge Labégorre contredit magistralement la thèse d’une agonie de l’histoire de l’art occidental. En effet, le chambardement radical de Picasso, de Céline ou de Joyce, la brutalité tellurique de Pollock, le presque mutisme de Beckett ou de Rothko, l’univers pulsionnel de Simenon, semblent préfigurer l’avènement d’un nihilisme irrémédiable. Or il y a Labégorre, peintre inspiré des âmes en peine, mais pas mortes, que le qualificatif d’usage –expressionniste- définit très imparfaitement. »
Denis Tillinac, avril 2014. Extrait de « Or, il y a Labégorre », préface du livre « Origines », publié pour l’inuguration du Fonds Labégorre à Seignosse, en novembre 2014.
Lumières, Serge Labégorre avec Lucie Geffrey
Peintures
Lucie Geffrey, jeune peintre aquitaine, est presque une habituée du Fonds Labégorre. Sa figuration d’une grande vérité, d’une grande affection pour ce qui vit, se bat, se meut, se meurt, est toujours un plaisir pour les yeux comme pour le cœur. Exposition en court de validation à l’heure où nous écrivons