Yet, there is Serge Labégorre
“Serge Labégorre’s work powerfully refutes the idea that the history of Western art is in its death throes. Indeed, the radical upheaval brought by Picasso, Céline or Joyce, the telluric brutality of Pollock, the near-silence of Beckett or Rothko, the instinctual world of Simenon — all seem to herald the arrival of an inescapable nihilism. Yet, there is Labégorre — a painter inspired by tormented souls, but not dead ones — whom the usual label expressionistdefines all too poorly.
The writer’s words confess their inadequacy as soon as he attempts to interpret the mysterious language of a painter. Lacking better tools, he seeks out glorious predecessors, ventures comparisons — a mix of Daumier and Bacon (the popes, the portraits), of Soutine (the crooked houses and steeples), of Gauguin (the impassively sorrowful gaze of the women), of Rouault (the crucifixions), of Van Gogh (the thunderous clash of colors), of Munch (the solitude). One might detect distant echoes of Picasso or De Staël, and even reach back in time to the paroxysms of grief in the Pietàs of the late Middle Ages, passing through the dismay of Dutch and Flemish masters confronting the mirror of their inner self.
These reminiscences could summon yet others — from Magnasco to Kokoschka. But they all fall short of capturing the strangeness of a body of work so stubbornly devoted to pursuing the human soul, stripping flesh from beings to extract the secret of their prostration.”
Denis Tillinac
L’art est pour moi la plus haute manifestation du travail humain, qui suscite la plus profonde émotion : l’émotion esthétique. C’est le plus court message d’un homme à un autre.

Born in 1932 near Bordeaux, Serge Labégorre is one of the leading contemporary expressionist painters. He lives and works in Fronsac.
His large full-length portraits — where deep reds and dark greens burst forth against black backgrounds — are featured in numerous museums in Paris, Bordeaux, Brussels, Geneva, London, Porto, Tokyo, New York, and San Francisco.
Serge Labegorre's diary
Décembre 2024 à février 2025 → « Tumultes et Vanités », Fonds Labégorre, Seignosse
Décembre 2024 à mars 2025 → Honfleur Galerie Danielle Bourdette, dans le cadre des 45 ans de la galerie.
1er mars, 30 avril 2025 → « Petits formats – Grandes oeuvres », Airial Galerie à Mimizan
28 juin, 21 septembre 2025 → Musée d’Art de Soulac. Grande rétrospective
Eté-Automne 2025 → Londres, curator Jessica Anselm
Eté 2025 → Serge avec Francesca et Francis Guerrier
Octobre 2025 → « L’âme du monde », Serge Labégorre, peintures – Saint Paul lès Dax
En permanence → Au Fonds Labégorre, Seignosse, accrochage 100% Labégorre ou accrochage en complément/accompagnement des expositions temporaires
Expositions récentes (et quelques archives)
Tumultes et Vanités – Peintures
Serge Labégorre
Du 14 décembre 2024 au 14 février 2025 – Fonds Labégorre
Crânes, natures et natures mortes.
Vernissage samedi 14 décembre en présence de l’artiste, dès 17h30.
→ Voir le catalogue de l’exposition
→ Lire la préface de Anne Blayo
Visite et vernissage, reportage photos du Fonds Labégorre :
Reportage photos de Claude Goga :
Eté 2024 au Fonds Labégorre
Pour les dix ans du Fonds Labégorre :
Hommage à Henri Hayden (1883-1970)
Peintre franco-polonais, dont Serge, tout jeune artiste, partagea la galerie, l’une des plus prestigieuses de Paris à l’époque : la galerie Suillerot.
Raymond Suillerot, fondateur de la FIAC, avait alors dans son « écurie », Antonio Guansé, Rebeyrolles, Bacon, Tapiès, Zadkine… le prochain hommage pourrait être François Desnoyer, ou Bernard Buffet… à suivre.
Reportage de l’exposition des 10 ans du Fonds Labégorre :
Serge Labégorre, né peintre.
Musée des Beaux Arts de Pau
Grande rétrospective Labégorre !
Du 7 juin au 29 septembre 2024
Vernissage jeudi 6 juin 2024 à 18h30
→ Voir l’affiche de l’exposition
→ Téléchargez l’invitation
→ Avant-propos de François Bayrou pour le catalogue de l’exposition
→ Né peintre, Serge Labégorre en rétrospective à Pau – Revue Aqui, 07.06.2024
→ Retrospective Serge Labégorre… – Sud-Ouest, 18.07.2024
→ Pau : le retour aux sources de Serge Labégorre – Sud-Ouest, 07.06.2024
« Issue d’une sélection exigeante et la plus représentative possible de son œuvre, la soixantaine de tableaux présentée ici tente de retracer fidèlement le lien que l’artiste a toujours entretenu avec la peinture. Portraits de proches, d’hommes d’Église et nus composent l’essentiel de cette exposition. Enfin, cette exposition constitue, pour Serge Labégorre, un retour aux sources sur les terres béarnaises de sa famille. Terres où il a régulièrement séjourné durant son enfance. Enseignant par la suite le dessin au lycée Louis Barthou, de 1963 à 1968, à quelques pas du musée (qu’il visitait fréquemment), il a tissé un lien très fort avec la cité paloise. »
(extrait de la présentation par la direction des musées de la Ville de Pau) → Vers le site du musée
→ Labégorre, né peintre – Revue Aralya
→ Exposition Serge Labégorre – Guide Béarn Pyrénées
Visite de l’exposition et vernissage :
Visite de l’exposition et vernissage, suite :
Discours et rencontres :
Quelques Œuvres présentes à l’exposition :
Préparation de l’exposition :
Quelle aventure !
Peintures de Serge Labégorre, des débuts à aujourd’hui, avec Rosy pour témoin, soutien, muse…
Du 22 octobre 2022 au 10 février 2023
Serge et Rosy
Quelques-unes des œuvres exposées :
Photos du vernissage (22.10.2022) © Claude Goga :
Reportage du Fonds Labégorre (accrochage et vernissage) © Sophie Labégorre :
Point Rouge Galerie
Saint Rémy de Provence
Du 24 mai au 25 juin 2023
Reportage de Point Rouge Galerie – vernissage 27/05/2023 :
Labégorre, un été avec Guerrier
Peintures de Raymond Guerrier et Serge Labégorre
Du 18 juin au 2 septembre 2022
Guerrier, bâtisseur de cathédrales
Un jour béni, je fus présenté à Raymond Guerrier. Parmi les jeunes peintres des années 50 (nous étions jeunes alors), il m’apparaissait le plus grand. J’étais impressionné, au point de ne pas trouver les mots pour lui dire mon admiration. Je pus me rattraper plus tard, alors que nous avions été invités tous les deux à une création publique sur les quais de la station de métro Saint Augustin, à Paris, par Métrobus Publicité. Il fallait peindre en trois jours, trois nuits, une toile de 15 m², tendue sur l’emplacement habituel des panneaux publicitaires, enregistrés en permanence par les caméras de l’ORTF.
Nous n’avions pas assez de recul pour apprécier notre travail, perchés sur nos échelles, et devions aller sur le quai d’en face pour en avoir une idée. Nous y allions de conserve et regardions en même temps les autres peintres qui s’échinaient, nous étions dix en tout.
Voici à peu près ce que je lui dis en voyant tous ses démarrages. « Ce qui me frappe c’est leur incertitude, comme s’ils étaient terrorisés. Toi, Raymond, tu poses, et c’est définitif. Les premières pierres de la cathédrale que tu construis seront là jusqu’à la fin. Voilà pourquoi, je te le dis, tu as déjà un pied dans la postérité. » Il a souri, sans me croire. Il était trop modeste pour ça, et pourtant je savais moi qu’il était un géant et je le sais encore. »
Serge Labégorre
→ Téléchargez le pdf
Les œuvres de Guerrier confiées par sa famille :
Photos du vernissage (18/06/2022) © Claude Goga :
Photos du vernissage (18/06/2022) © Fonds Labégorre :
→ « Guerrier, l’harmonie des tons rompus », par Serge Labégorre 1986
→ Lire la préface du livre d’Elisa Farran (directrice Musée Estrine St Rémy de Provence et commissaire expo Septembre 2020)
Chapelle du Carmel – Libourne
Du 6 juin au 20 septembre 2015
Je me souviendrai toujours de la force créatrice de ma première expérience de peintre où quelque chose d’ordre poétique est rentré dans ma conscience, le jour où il m’est apparu que dans un geste je pouvais convier toutes les forces de l’univers, où je me suis rendu compte que le monde était un théâtre que devaient habiter mon propre corps, mon propre cœur.
Extrait du discours de Serge Labégorre – Lire la suite
La Chapelle du Carmel
45 Allée Robert Boulin 33500 Libourne